| Les grenades ont toujours occupé une place à part dans nos scénarios. Pour preuve, voici quelques unes des utilisations possibles de ces merveilleux petits engins. |
"Combat - Speed - Grenade"
Ce sont les mots traditionnellement prononcés par Jack Vance
(notre champion des Oups)
à chaque fois qu'il y avait combat.
Or donc, les PJ se baladaient sur une planète divisée en plusieurs pays. Ils entrent dans la très militarisée République des Enfants, peuplée uniquement de jeunes. Ils s'approchent d'une ville. Un tank vient de la ville à leur rencontre. Jack Vance fonce sur le char grâce à sa ceinture de vol, découpe le haut du char avec sa filépée et fonce à l'intérieur. Un gosse le menace avec une grenade dégoupillée, Jack Vance le crunche et le char explose.
Bien sûr, grâce à son armure énergétique, notre ami Jack Vance s'en sort indemne. Pas les deux enfants qui étaient dans le char... Plus tard, les enfants habitant la ville, croyant en une invasion, nous enverrons l'aviation. Le bombardement tuera deux PNJs: le mari d'une PJ et la fille adoptive d'un autre PJ. Ambiance, ambiance...
Faut-il préciser que nous étions supposés nous ranger aux côtés des enfants pour les aider...
P'tibil Aldaran (un perso suivant du même PJ) interroge un prisonnier. Les autres lui disent de ne pas l'abîmer (parce que bon quand même). P'tibil dit alors "si tu ne parles pas, je me jette une grenade". Le prisonnier a refusé de parler et P'tibill n'a pas hésité: il s'est lancé une grenade (sur lui-même) !
Sur une planète primitive, une créature titanesque se saisit d'une belle tekno. P'tibil lance alors une grenade qui tue la tekno et blesse le monstre...
Les PJ recherchent un adolescent, fils d'un ponte impérial, qui a fait une
fugue (le fils, pas le ponte, hé). Ils le retrouvent en train de faire de la
musique dans un garage avec une douzaine de jeunes de son âge. Elric, qui
s'ennuyait sans doute, envoie une grenade au milieu des mômes (qui sont sans
armures évidemment). 10 morts dont le fils du notable.
Bilan:
- Echec de la mission.
- Elric est reconnu coupable de massacre et est condamné à 20 ans de prison.